Présention de Bill

Date de naissance : 4 mars 1985

Nationalité : Nippo-italienne

Fonction ou métier : Ninja

Compétence(s) :

- Armes à feu = 50

- Baston = 75

- Endurance = 50

- Agileté = 25

Objectif(s) : La vengeance

Apparence physique : Son corps meurtri, athlétique et bronzé, a raison du regard de toutes les femmes. Il a un regard de glace, un regard vide d'émotion, son air est constamment zen, même dans les moments de stress les plus intenses. Il se couvre rarement le torse, en fait, sa culture personnelle le veut ainsi. Il porte des pantalons variés, allant du bas de kimono jusqu'aux black jeans, en passant par les pantalons cargo.

5"10'; 76 kilos; cheveux noirs, yeux noirs bridés, teint jaune. Origine nippo-italienne, il a un teint plus marbré/bronzé que les japonais de souche. Il porte toujours son 9mm ancré dans son pantalon, niveau du dos. Son sabre est accroché en bandouillère derrière lui. Il porte souvent des lunettes fumées de style "aviateur". Musculature relativement développée.

Il porte des souliers noirs propres à caps d’aciers.

Sa tenue ninja est composée de protections anti-balles synthétiques, d’une combinaison noire et d’une cagoule. Il a également une écharpe, des brassards, des étuis à dagues intégrés à ses cuisses. Un diadème en fer est greffé à sa cagoule.



Personnalité : Imperceptible; on ignore vraiment ce qui se trame entre ses deux oreilles. Bill est un être pour le moins… compliqué. Pour lui, il n’y a ni bien, ni mal, il n’y a que sa quête sans fin de vengeance contre les instigateurs de ce cataclysme. Ceux à cause de qui il fut forcé de tuer sa femme… sa fille et ses deux fils.

C’est somme toute un être brisé. Une âme en perdition, en peine, dont la seule flamme qui le fait vivre à chaque instant est sa quête de vengeance.

Il ne parle pas énormément. Il possède encore d’humanité, mais elle est enfouie en lui. Mais il aime les femmes… le plaisir… lorsqu’il a besoin de s’évader et qu’il n’a pas la tête à se concentrer puis méditer.

Son côté japonais fait de lui un être droit, travaillant, zen, silencieux.

Son côté italien fait de lui un être dangereux lorsque sa colère éclate… et également quelque peu séducteur sans s’en rendre compte.

Attention mesdemoiselles! Tomberez-vous sous le charme du guerrier silencieux?


Biographie :

Samedi 4 avril 1985, Sicile

Un enfant naît dans un hôpital pauvre. L’infirmière pris l’enfant tandis que le père contemplant le prodige de ses petits yeux bridés tout en coupant le cordon ombilical. Tous deux se blottirent, la mère le tenant dans ses bras.

- Comment l’appelleront-nous?

- Kevinio… ça lui va tellement bien, et il se fera plein de petites amies avec un nom si envoûteur! Dit sa mère avec un sourire en coin

- Il trouvera la plus belle femme au monde… comme son père l’a si bien fait!

Kevinio, ou Ken comme on finira par l’appeler, grandit au sein d’un foyer d’une classe modeste, mais travaillante. Ce n’était pas le grand luxe, mais n’avait pas à se plaindre de son chez lui.

Il fréquenta une bonne école privée, il fut fort bien éduqué. Mais au terme de sa sixième année élémentaire, il commença à traîner avec des voyous dans les rues.

Il commença par de petits vols…

À 12 ans, il consomma son premier joint de marijuana.

À 13 ans, ce fut le hash.

À 14 ans…

À la fête de ses 14 ans, son grand père lui offrit un couteau suisse. Il lui raconta qu’il l’avait reçu lui-même de son grand-père maternel qui l’avait lui-même reçu du sien, et ainsi de suite. Il lui raconta que ce couteau lui apporterait la chance et qu’il ne devait s’en servir que de manière réfléchie, car celui qui le porte doit en être digne. Il témoigne de la noblesse de la famille et de la dignité. Le fait de porter une arme ne doit monter à la quiconque, et celui qui tient le pouvoir doit s’en servir intelligemment.

Il n’oubliera jamais cela. Son père lui révéla également une partie de son histoire. Lorsque Ken s’introduit dans sa chambre et découvrit de vieilles photos.

Son père était un réfugié. Sa tête avait été mise à prix par les Yakuza dans son pays. Lorsqu’il était au Japon, il avait une petite entreprise, mais un jour, il était menacé de faillite, il commit donc l’irréparable pour s’en sauver.

On lui promit prospérité et protection. Il fut spectateur des horreurs les plus inimaginables du crime organisé japonais, et un jour, c’en fut trop pour lui. Il du fuir le pays vers la Chine. Puis vers la Russie… puis vers l’ouest, jusqu’en Italie, où cette fois les Yakuza en question et leurs amis n’avaient pas de tentacules.

Mais sa famille n’eut pas cette chance. Il n’en dit pas plus.

Ce fut cette année que Ken joint un gang. Il entreprit des méfaits, des petits délits, mais commença la vente à 15 ans. Il s’acheta un revolver, S&W 65. Il s’entraîna à tirer à la maison de campagne des parents du chef du gang. Son père l’avait déjà emmené tiré à la carabine plusieurs fois par le passé, et continuera à s’entraîner jusqu’à sa majorité.

À 16 ans, il commença le racket à la solde d’un dealer d’un quartier pauvre de Venise. À 17 ans, il battit son premier mauvais payeur.

La fête de ses 18 ans fut mémorable. Son premier amour cette année. Valentina. Son dealer lui offrit alors une place dans son organisation.



Il travailla alors comme barman dans un bar, le bar où il se rapportait pour ses rackets. Il devint de plus en plus riche avec tout cela et gâtait Valentina. Il vécu de douces années auprès d’elle.

Mais quelque chose le chicotait… il repensait à ce que son père avait subit. Il se décida. Il prit l’avion pour le Japon le jour où il emménagea en appart. Valentina ne l’accepta pas et le quitta au terme d’une relation de quatre mois.

Il avait réussi à faire passer son revolver et son couteau. Il se mis alors à la recherche des Yakuza et reconnu, à Kyoto, le salon de thé qui avait autrefois appartenu à son père. Il attendit la nuit dans un hôtel et s’introduisit par infraction à l’intérieur du salon de thé. Il y avait une sentinelle, qu’il parvint à approcher et à égorger sans qu’il ne le vit.

C’était la première fois qu’il tuait un homme, il était tout secoué. Mais s’en prendre aux Yakuza n’étaient pas chose aisée. À peine eut-il le temps de se retourner, revolver en main, qu’un canon de pistolet était collé à son front. Il jeta son arme. L’autre garde lui ordonna de jeter son couteau, ce qu’il fit.

Il cria pour réveiller les autres. Deux autres japonais, torses nus, entrèrent. Ils parlèrent dans leurs langues, leur dialecte de campagne auquel Ken ne comprenait rien. Ils s’emparèrent de lui et le jetèrent dans un camion après l’avoir rué de coups.

Le camion se mis en marche… mais à moitié du chemin, il fonça dans un arbre, tuant sur-le-coup le chauffeur, qui était seul. Ken s’en sortit indemne. Il reprit son arme et son couteau, ainsi que la carabine du chauffeur. Le camion était perte totale.

Il se mit en marche et à bout de force, s’effondra. Lorsqu’il se réveilla, il était dans une maisonnée, où une jolie japonaise lui servait le thé. Dans le dialecte que son père lui avait enseigné, elle lui dit :

- Vous avez été chanceux que mes frères vous retrouvent. Prenez garde, étranger, c’est chaud!

- M… merci…

Il en eut pour la journée à s’en remettre. Puis il sortit dehors pour réaliser qu’il était en fait dans un village secret dans les montagnes. Un village de ninja. Ken trouva le chef du village et lui raconta son histoire et sa quête de vengeance.

- Je ne jugerai pas tes intentions. Mais si tu peux nous présenter à ton ami chez toi, je consens à t’offrir les armes nécessaires.

Trois années de dur labeur s’en suivirent. Mais Ken démontra un talent inné aux différents arts du ninjutsu. Il appris à ne faire qu’un avec l’ombre, à faire en sorte que son sabre fasse partie de lui et utiliser la poudre noire à toutes les sauces.

En 2006, il devint ninja, ce qui est extrêmement rare chez des candidats aussi vieux de gravir en trois ans, ça ne s’était jamais vu encore, en fait. Mais il ne pouvait se mesurer à ceux qui avaient commencé à leur plus jeune âge, simplement que pour quelqu’un avec seulement trois années d’entraînement et ayant commencé à 18 ans, il était un prodige.

Avec l’aide du grand maître Sensei, Ken et deux ninjas se rendirent à Kyoto pour amener au silence les treize Yakuza qui avaient osé s’en prendre à son père. Puis ce fut cette année qu’il reçu un message de Sicile.

« Les choses vont mal en Amérique. Dans un pays au nord des États-Unis d’Amérique, le Canada, où le capitano était responsable des affaires de mes patrons, les poulets ont mis à sac toute notre entreprise. Tu dois revenir car nombre d’entre nous doivent partir au Canada pour reprendre nos affaires là-bas. Toi aussi tu devras y aller, lorsque tu seras prêt. »

Ken revint en Sicile et présenta son grand maître à son dealer, Benito. Benito fit une bonne affaire avec ce contact Yakuza et ainsi, Ken devint partenaire de Benito. Il devint soldat de la Casa Nostra.

En 2009, les choses se gâtèrent. Avec Benito, il débarqua chez un rival pour aller lui foutre une raclée. Mais lorsqu’ils pénétrèrent dans le bâtiment, ils furent pris en embuscades par des dizaines de policiers. Benito fut prit, Ken se sauva par la fenêtre. Si ce n’était de ses talents ninja, il y serait resté également.

Les choses chauffaient ici et pire encore, le nouveau capitano avait été assassiné au Canada, encore. Ken, en punition de son manquement, reçu ordre de se rendre au Québec et de faire la peau au meurtrier.

Les Sons of Anarchy, un gang de motard international, sûrement le plus fort au monde, régnaient sur la métropole du Québec où Don Carleone avait été assassiné. Mais les motards avaient été arrêtés en grande partie la même année.

Il le trouva, il était relié aux gangs de rue. Un chien de guerre lâché par les russes afin d’éliminer la concurrence. Ce russe était propriétaire d’un bar.

Il se rendit à ce bar. Il entra et trouva Crack qu’il s’appelait. Il vint s’assoir à sa table et vint lui parler.

- Bonjour à toi. Tu sais qui je suis?

- Non… à qui aie-je l’honneur?

Il déposa le couteau suisse sur la table.

- Il te plaît?

- Pour sûr!...

- Il appartenait à mon grand-père. Il ne doit revenir qu’à un homme respectable. Vous savez ce que cela signifie?

- Quoi donc?

- L’honneur!

Le couteau se retrouva mystérieusement dans la carotide du russe. Le tireur qui avait de ses mains tué Don arriva sur la scène et avant même qu’il ne pu comprendre, Ken était déjà à côté de lui et lui fourra une bouteille de vodka dans le gosier et lui brisa les rotules en même temps.

Il s’effondra et Ken lui enfoui le contenu de la bouteille toute entière sans qu’il ne puisse rien faire. Puis fourra son briquet dans son gosier et incendia la gorge du tueur. Il le pris par le collet et l’amena au back store et le jeta par la porte arrière. Les derniers gooms émergèrent mais n’osèrent rien faire.

- C’est moi qui dirige, maintenant.

- Mais putain, t’es qui?

- … Appelez-moi simplement Bill.

Il dut changer son identité pour Bill. Pourquoi? C’est le nom que son instinct lui dicta. La voie qu’il devait suivre, celle du sang.

Et voilà. Ils firent disparaître les corps. Ken prit le contrôle de l’entreprise et rendit des comptes à ses supérieurs de la Casa Nostra. Il attendit le retour de flammes des russes… mais rien.

Eh voilà… ce qui nous amène en 2013. L’opération MARTEAU prit terme au terme de l’enquête à huis clos de Duscheneau que Charest finit par autoriser, et les Sons of Anarchy furent nettoyés de la Construction.

Ken y vit alors une belle occasion. Mais en même temps qu’il reçu cette nouvelle, il apprit la mort de ses parents… un virus.

Le virus arriva au Québec et ravagea tout autour de lui. Il ne dit plus rien à compter de ce jour. Il pris tout ce qu’il restait et partit sur sa moto… en quête de l’instigateur de la mort de ses parents.



Achats :

Armes

- Daï-Katana : 6.000.00 $ (lame d’un mètre)

- Tronçonneuse : 2.000.00 $

- Couteau suisse : 100.00 $

- Deux pistolets M1911 : 1.800.00 $

- Fusil de précision M24 : 5.000.00$

Protections

-Spider armor anti-balle (mix de la veste tactique et antiballe, couvrant torse, avants bras et tibias, résistance élevée aux armes à feu et armes tranchantes, conçu à partir de toile d’araignée, légère et souple) : 2.000.00 $ (si vous l’approuvez)

Munitions

- 500 Cartouches .45 ACP : 350.00 $

- 500 Cartouches M08 WIN : 500.00 $

Véhicule

- Motocyclette neuve (Ninja 250R) : 30.000.00 $

- Lames latérales : 12.000.00 $

- Moteur turbo : 8.000.00 $

Carburant :

- 200 litres (10 barils) : 1.000.00 $

Vivres

- 30 rations de nourritures : 250.00 $

- 100 litres d’eau potable : 2.500.00 $

- Trousse de soin : 200.00 $

- 4 doses de Morphine : 600.00 $

Autres

- Briquet : 50.00$

- Lampe de poche : 100.00 $

- Boussole : 100.00 $

- Atlas routier : 200.00 $

- Jumelles : 300.00 $

- Kit de crochetage : 500.00 $

- Sac de sport : 120.00 $

- Sac à dos : 60.00 $

Achats : 73.430.00 $

Reste : 1.570.00 $


Personnalité sur avatar: Rain (Ninja Assassin)

Belle tentative Guillaume, mais je crois avoir été assez claire la dernière fois... Ta présence ici ne sera pas requise.

lol XD, tu parles de mon frère? Okay, jcomprends pourquoi y me disait que ce forum c'était de la marde XD

C'est juste qu'on partage le même ordi, moi c'est Vincent, en passant!

Bonjour "Bill" alias le frère de Guillaume Chevalier,

Au vus des erreurs de ton frère présumé j'espere que tu n'auras pas le même comportement, même si d'un tu pars du mauvais pied et de deux je doute que tu es un frère Vincent. Ainsi il faut aussi te dire que ta fiche est irrecevable pour les points majeurs suivant:

Description physique: Même si le nombre de ligne est respecté la forme n’est pas appropriée. Il faut faire des phrases, logiques et descriptives. Une énonciation monotone de caractéristiques de façon quasi-administratives n’as pas d’intérêt.

Description psychologique: C'est proprement invraisemblable de décrire un esprit ainsi. Les quelques lignes que tu as écrit sont en somme un patchwork des caractéristiques du cliché hollywoodien du loup solitaire "trop balaise et mystérieux". De plus elle n'est pas en accords avec ta biographie, en effet tu ne mentionne jamais la femme, la fille et les deux fils de Bill.

Biographie: En premier point le concept cinématographie vulgarisé du ninja n'es pas fidèle à la réalité. Le ninjudsu moderne est un concept de vie, qui se base surtout sur la persévérance, la patience et l'endurance face aux difficultés. Ce n'est pas un méli-mélo d'acrobaties grotesques qui sont en somme un insulte envers une culture (non je n'en suis pas fan mais j'aime à ce qu'un respect face aux valeurs de n'importe quel culture soit garantie.). Ainsi il est impossible que ton personnage devienne "ninja" en trois ans, les grands maitres d'art martiaux mettant souvent des années avant de parvenir à leur statut.

En second point il faut montrer la totale confusion qui parsème ta biographie. Il est dealer, membre d'un gang mais à des congés sabbatiques pour aller faire une vendetta au Japon ? Ensuite il devient miraculeusement "ninja" et tue tranquillement les treize pontes de la mafia japonaise qui d'un point de vues logique doivent avoir pas mal de tentatives d'assassinats à leur actif ? Ensuite il s'allie à un Yakuza pour monter un trafic illicite nippo-sicilien au Canada ? Avouons que c'est étrange. Je ne continue pas, le concept est - je l'espère - compris.

En annexe cette biographie ainsi que le personnage baignent dans le plagia d'œuvres cinématographiques tel que Ninja Assassin ou Kill Bill, ce qui n'est ni une marque d'originalité ni un point en ta faveur.

Le verdict est assez claire: la fiche est à refaire. Bonne écriture à toi.

Cordialement Alexandre Lumière

Un frère qui s’appelle Vincent, et puis quoi encore?

Tu t'enfonce dans tes mensonges mec, j'ai vus ton message avant que tu ne l'édite... Celui ou tu disais qu'il ne fallait pas te pousser à bout et ou tu disais, et je cite "Je suis encore un être-humain à ce que je sache". J'allais te donner une deuxième chance, mais avec ce que je vois maintenant... Et puis y'a cette fiche qui à mon avis est une insulte à tous les membres du forum. Maintenant fou le camp et ne reviens plus c'est compris?